Le civet de cerf, c’est la lenteur et la profondeur réunies. On laisse mijoter des heures, le vin s’imprègne, la chair se détend, le jus devient velours. En bouche, c’est dense, long, plein de sous-bois et de douceur à la fois. Un plat d’hiver, de patience et de vraie gourmandise.