Épaisse, bien dessinée, la côte première est la plus noble. Elle réunit le moelleux du gras et la finesse du muscle. À la cuisson, elle dore lentement, se parfume, se détend. Le jus s’épaissit, le sel réveille le sucre naturel de la viande. C’est la côte du dimanche, charnelle et sincère.
